Le gigantisme inquiète. La concentration des acteurs sur les mers se traduit par moins d’escales, donc moins de rentrées financières, et des pics d’activité difficilement gérables sur les terminaux. Leur rentabilité baisse, tandis que les investissements portuaires sont de plus en plus conséquents. A cela s’ajoutent les répercussions sociales de l’automatisation. Les collaborations portuaires pourraient être une première réponse.
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