Onomichi est situé au centre de la mer intérieure de Seto et entouré par un canal. Cette situation est mise en valeur pour le nouvel édifice municipal. Ce bâtiment iconique reste accessible au public en dehors des heures d’ouverture avec des terrasses paysagées jusque sur le toit. Le bâtiment adopte les technologies de la construction navale et semble flotter sur l’eau.

Les déchets agricoles ou encore les restes de nourriture compostables serviront peut-être à produire le bio-GNL de demain. L’expérimentation en cours aux Pays-Bas par les entreprises Attero, Titan LNG et Nordsol vise à produire 5000 tonnes/an, grâce au soutien financier de l’Union européenne pour 4,3M€. Les villes portuaires sont un nœud de collecte des déchets organiques et présentent donc un potentiel important pour cette filière verte. A Haminakotka (Finlande), les eaux usées sont filtrées afin d’en retirer la matière organique. Gasum espère récupérer les eaux usées des quelques 2500 navires accostant au port chaque année, afin de les transformer en biocarburant… pour navires !

Résidence étudiante flottante, stade démontable, logements, parking, coffee-shop, tribunes pour le basket, hôtel, bureaux,… : retour sur 12 projets utilisant la modularité et la flexibilité du conteneur.

Rendre les informations accessibles au public et aux acteurs portuaires est essentiel pour garantir la transparence de la gouvernance. Dans le cadre d’une nouvelle étude, des chercheurs de Port Economics, dont l’expert AIVP Geraldine Knatz, ont examiné comment le concept de transparence est mis en application (ou pas) dans les ports d’Amérique du Nord, d’Europe, d’Amérique latine et des Caraïbes. Les auteurs ont découvert qu’il existe différents niveaux de transparence portuaire selon la région et le modèle de gouvernance. L’étude souligne la nécessité de renforcer les normes de transparence et propose un nouveau programme de recherche pour l’avenir.

Cover image: Transparency by Nick Youngson CC BY-SA 3.0 Pix4free.org