Dans le cadre du projet R4C-Togo, les autorités togolaises ont pris des mesures destinées à renforcer la résilience des communautés côtières du Togo face au changement climatique. 70 coopératives féminines vont ainsi bénéficier d’un appui afin de renforcer leur résilience climatique. Ces femmes, qui vivent principalement de la pêche et l’agriculture, dépendent des ressources naturelles locales pour assurer leur subsistance, et ces activités sont souvent menacées par l’érosion côtière. R4C-Togo vise à renforcer la sécurité alimentaire grâce à des technologies et des solutions innovante développées par des entrepreneurs locaux.

Sur deux pays à la fois, l’autorité portuaire de North Sea Port développe des projets d’écologie territoriale et circulaire. C’est ainsi qu’à Sluiskil (Pays-Bas), un accord avec l’entreprise Yara a été signé afin de lancer une capture et stockage de carbone, permettant d’empêcher l’émission dans l’atmosphère de 700 000t de CO² par an. D’autre part, une nouvelle coopération a été initiée avec la vallée du Moervaart (Belgique), grâce à l’intermédiaire de la province de Flandre-Orientale. Les projets d’expansion du port seront systématiquement compensés par une replantation de végétaux et un soutien à l’agriculture dans cette vallée.

Commencer le travail maintenant ! C’est le ton engagé que le capitaine Allan Grey, directeur du port de Halifax (Canada) et membre de l’AIVP a tenu à employer. Sur les dossiers du soutage, de la régulation des énergies ou du partage de compétences techniques, les ports de Halifax et Hambourg vont collaborer pour que le trafic maritime les reliant soit décarboné. C’est à ce prix que, quand l’hydrogène vert atteindra sa maturité technologique, les citoyens bénéficieront vraiment d’un air plus pur et d’une mobilité plus douce.

Les deux villes portuaires américaines aménagent de nouveaux espaces publics d’une grande qualité qui permettront aux habitants de retrouver le contact avec l’eau. À Seattle, l’aménagement du nouveau parc Pier 58 a débuté sur le site de l’ancien quai qui s’est effondré. Le nouveau parc, qui devrait coûter 65 millions de dollars, sera de forme triangulaire et comprendra des zones vertes, du mobilier pour s’asseoir à l’ombre et une aire de jeux. Dans le même temps, à San Francisco, les travaux du nouveau Indica Basin Waterfront Park ont été lancés après 10 ans consacrés à la planification. Le nouvel espace de 4 ha, d’un coût de 140 millions de dollars, comprendra des allées, des jardins et des zones d’habitat pour la faune sauvage. La nouvelle structure suppléera au défaut de voies piétonnes et pistes cyclables et comprendra une place publique destinée à accueillir de l’événementiel et des marchés des producteurs, ainsi qu’un « espace d’éducation à l’environnement ». Le terrain, occupé pendant plus d’un siècle par des activités de construction et de réparation navales, a dû être décontaminé, d’où le montant de l’investissement.

Ce projet est le fruit de deux ans de réflexion et d’un vaste processus de consultation de l’ensemble des utilisateurs de la Tamise (Royaume Uni). La future économie nette zéro, élément clé pour l’avenir du développement durable de la capitale britannique, est au cœur du projet. Cette nouvelle vision repose sur trois grands thèmes interdépendants, articulés autour du fleuve, qui répondent aux ODD de l’ONU :

Le Port et l’ensemble des parties prenantes ont convenu de cinq priorités transversales à établir pour réaliser la Thames Vision 2050 :